Unboxing découverte du Arrma Quake Grom violet : le coup de cœur immédiat
Salut à tous,
Aujourd’hui sur le blog, je vous propose de revenir tranquillement sur l’unboxing découverte du Arrma Quake Grom, un petit monstre à quatre roues motrices qui m’a clairement tapé dans l’œil dès l’ouverture du carton. Cette vidéo avait pour but de vous faire patienter avant le test complet à venir, mais il y avait déjà énormément de choses à dire… alors posons tout ça à plat.
Un carton qui en dit déjà long
Première chose à signaler : la livraison. Le colis arrive par la poste, sans encombre, mais avec un carton très voyant. Personnellement, j’aurais préféré quelque chose de plus discret. Quand le nom du modèle est affiché partout, ça donne quand même des idées aux mains baladeuses. Heureusement, tout est arrivé en parfait état.
Une fois le grand carton ouvert, on tombe directement sur la boîte Arrma, et là… claque visuelle immédiate. Le packaging est superbe, bien fini, et surtout la version violette attire instantanément l’œil. Franchement, cette couleur, elle est juste incroyable.
Présentation de la boîte et premières infos
Sur la face avant, on découvre le Quake Grom violet, avec ses jantes violettes assorties et ses ressorts d’amortisseurs de la même teinte. C’est propre, c’est cohérent, ça donne tout de suite une identité au véhicule.
On apprend que ce modèle est un monster truck électrique à l’échelle réduite, en quatre roues motrices, contrairement à son grand frère à l’échelle 1/10 qui est en propulsion. Ici, on est clairement sur quelque chose de plus polyvalent et plus joueur.
À l’intérieur, Arrma fournit une batterie de 1400 mAh avec son chargeur, un ensemble identique à celui que l’on retrouve sur le Typhon Grom. Bonne nouvelle, on est donc sur du matériel déjà éprouvé.
Autre point très appréciable : les amortisseurs à bain d’huile. À cette échelle, pour moi, c’est indispensable. Ça promet un comportement bien plus sain que de simples ressorts secs.
Ouverture de la boîte : place au bijou
Une fois le carton scellé ouvert (oui, cette fois-ci il l’était vraiment), on tombe directement sur le véhicule. Et là, impossible de garder le suspense :
il est magnifique.
Le Quake Grom est petit, certes, mais il respire la qualité. Les proportions sont parfaites, la carrosserie est superbe, et la finition générale est vraiment impressionnante pour cette taille.
Juste en dessous, on retrouve :
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La radiocommande SLT2
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Des autocollants
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Une notice complète
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Et surtout, un petit détail qui fait plaisir : des outils fournis
Alors oui, ce ne sont pas des outils de compétition, mais avoir un tournevis estampillé Arrma et une clé à roue dans la boîte, c’est toujours mieux que rien.
La radiocommande et les accessoires
La SLT2, on commence à la connaître. Elle n’est pas révolutionnaire, mais elle fait le travail. Le bouton d’allumage orange est très visible, ce qui évite de le chercher pendant trois minutes comme sur les anciennes versions.
Petit détail sympa : un flash de couleur violet sur la radio, pour rappeler la teinte du véhicule. C’est bête, mais ça participe au plaisir.
La notice est claire, bien traduite en français, avec un guide de démarrage simple, parfait pour les débutants. On y retrouve aussi l’éclaté du véhicule, ce qui est toujours utile pour l’entretien ou les futures réparations.
Découverte du châssis et de la mécanique
Une fois la carrosserie retirée (sans clips, grâce à un système intégré très pratique), on découvre un châssis type baignoire, rigide et bien pensé.
À l’intérieur :
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Le contrôleur, qui fait aussi office de récepteur
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Le servo de direction
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Le moteur charbon 380
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Un ventilateur
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Une transmission entièrement en métal
Gros point positif : tout le bloc électronique peut être retiré facilement en dévissant quelques vis. Pour l’entretien ou les évolutions futures, c’est vraiment une excellente idée.
La batterie est une LiPo 1400 mAh, identique à celle du Typhon Grom, bien maintenue et facile à retirer. Les câbles sont bien guidés et ne se baladent pas dans le châssis, ce qui évite l’usure prématurée.
Suspensions, pneus et premiers ressentis
Les suspensions sont très souples, surtout à l’arrière. Clairement, Arrma a voulu favoriser les levées de roues et le côté fun. Personnellement, je pense que je durcirai un peu l’arrière avec des cales supplémentaires, mais ça se réglera avec les essais.
Les pneus ont un dessin très marqué, presque agricole, que j’aime beaucoup. En revanche, il ne semble pas y avoir de mousse à l’intérieur. Ce n’est pas dramatique, mais c’est à noter.
Les pare-chocs sont présents, mais assez minimalistes. À l’avant surtout, un peu plus de protection aurait été appréciable, même si le poids réduit du véhicule limite les risques de casse.
Mise sous tension et premières impressions
Une fois les piles installées dans la radio et la batterie branchée, tout s’allume sans problème. La direction est un peu molle d’origine, mais rien d’alarmant pour un modèle de loisir.
Le plus important :
le Quake Grom est bien en quatre roues motrices, et ça se sent immédiatement. Même à vide, on sent que le potentiel est là.
Conclusion : un énorme coup de cœur
Ce Quake Grom violet est un vrai petit bijou. La finition, le design, les choix techniques et le côté prêt à rouler en font un véhicule parfait pour le loisir, mais avec suffisamment de potentiel pour aller plus loin.
La vidéo complète avec les essais, les réglages et les comparaisons arrivera plus tard, après de vrais tests sur le terrain. En attendant, une chose est sûre :
Arrma a encore frappé très fort.
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À très bientôt pour la suite des aventures du Quake Grom 👊💜




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